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Spectacle

À quoi rêvent les pandas ?

24
Mai

Changsha (Chine)

Festival croisements

Une fable écologique entre musique et marionnette, Orient et Occident, hier et aujourd’hui.

Mêlant deux arts traditionnels : le théâtre d’ombres chinois, inscrit au patrimoine immatériel de l’UNESCO, et la musique occidentale de la Renaissance, cette fable écologique raconte de manière ludique et poétique le parcours de Petit Panda, à travers ses rencontres avec un singe, un crocodile et un phœnix.
Petit Panda vient au monde dans une nature luxuriante mais très vite les difficultés commencent. La forêt si accueillante s’enveloppe d’un lourd et épais brouillard. Ce conte musical mène une réflexion sur les enjeux écologiques et  environnementaux auxquels les nations doivent faire face.

Infos pratiques

  • Festival croisements
  • Changsha (Chine)

Distribution

Denis Raisin Dadre, direction artistique
Peng Zeke, direction du Théâtre d’ombres
Vanasay Khamphommala, mise en scène
Juliette Besançon, création lumières

DOULCE MEMOIRE : Clara Coutouly (soprano), Miguel Henry (luth, guitare renaissance), Denis Raisin Dadre (bombardes, flûtes), Bruno Caillat (percussions)
&
LE THEATRE D’OMBRES DU HUNAN (CHINE) : Jianghong Man, Shunhua Xiao, Ke Xiao, Fan Zhang, Jie Zou, Peng Zeke (marionnettistes)

Soutiens

Coproduction Région Centre-Val de Loire, Festival Croisements en Chine, Théâtre Olympia, centre dramatique national de Tours et l’Hectare – scène conventionnée de Vendôme.

Revue de presse

« La fusion entre la musique occidentale de la Renaissance et le théâtre d’ombres chinois, classé au patrimoine immatériel de l’Unesco, fait ici merveille : les artistes arrivent à obtenir un joli moment empreint de douceur et de poésie. […] Entre délicatesse et poésie, entre découvertes et ouverture vers le monde et vers l’autre, le temps se suspend au musée du quai Branly. »
ResMusica, Charlotte Saulneron, 9 novembre 2017

« […] le voyage est à la fois spatial et temporel : un art de la marionnette oriental, vieux de plusieurs centaines d’années, est accompagné de musiques occidentales de la Renaissance. L’étrangeté est davantage sonore que visuelle, ce qui peut sembler un paradoxe pour des spectateurs occidentaux. […] Néanmoins, loin de paraître incongrue, l’association de la musique et des images fonctionne remarquablement. C’est peut-être le plus surprenant : la rencontre des deux arts est si harmonieuse qu’on en oublie qu’elle n’allait pas de soi.»
Nonfiction.fr, Caroline Mounier-Vehier, 30 octobre 2017

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