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Concert

Splendeurs de la Renaissance

Une cérémonie haute en couleur avec 19 musiciens de Doulce Mémoire et plus de 50 choristes amateurs – Nouvelle création 2017

La Missa pro victoria à double chœur reprend la musique de la bataille de Clément Janequin qui célébrait la victoire française de Marignan en 1515. A travers ce concert, Doulce Mémoire propose la restitution d’une grande cérémonie liturgique avec la participation de trois formations musicales : la Chapelle de Plain-Chant, la Chapelle de Musique plus fastueuse et l’Ecurie du Roy, composée des instruments à vent les plus brillants et sonores. Le tout pour une cérémonie haute en couleur comme il était d’usage dans les cathédrales espagnoles.

Pour le plain-chant, un projet impliquant des chanteurs amateurs du territoire est possible.

Distribution

Véronique Bourin, Clara Coutouly, Esther Labourdette, soprano
Matthieu Peyrègne, Branislav Rakic, altos
Vincent Bouchot, Matthieu Le Levreur, ténors
Marc Busnel, Guillaume Olry, basses

Elsa Frank, Adrien Reboisson, Johanne Maître, Béatrice Delpierre, Nicolas Ronsenfeld, Jérémie Papasergio, Denis Raisin Dadre, flûtes, bombardes, doulçaines

Rémi Lecorché, Clément Carpentier, sacqueboute
Bruno Caillat, percussions

Et avec la participation de plus de 50 chantres amateurs pour le chant grégorien Renaissance

Revue de presse

« Les splendeurs de la Renaissance embrasent le festival d’Ambronay. Denis Raisin Dadre et l’ensemble Doulce Mémoire créent le premier choc de cette édition. […] Au-delà d’une interprétation remarquable, le choc provoqué par ce concert tient à la rareté du propos et aux couleurs inouïes de Doulce Mémoire. […] Cette intimité avec ce répertoire ouvre des espaces de liberté et de création qui se traduisent dans des programmes originaux où l’émotion jaillit, non du pathos de l’interprétation, mais du sentiment d’avancer en terre inconnue. Lors des saluts, les instruments en main, levés comme des trophées, avaient quelque chose d’une forêt bruissante de sonorités étranges qu’on espère entendre à nouveau  »
Antonio Mafra, le Progrès, 18 septembre 2017

Doulce Mémoire